Gwendel Waters

À la couronne

 

Je m'appelle Gwendel Waters, mais on me connait sous le nom de Gwen " la batarde", car oui les gens sont cruel envers quiconque porte un nom féminin alors imaginer un écuyer tel que moi. On peut dire que j'ai 19 ans et j'appartiens à la maison Waters car je suis batard, mon allegeance va donc à la couronne bien que je dirais plus au chevalier Brynden Nerbosc. Ma région à moi c'est la couronne c'est pour ça que je veux rejoindre le groupe des : gens de la couronne.

On dit de moi que je suis Sympatique, franc, joueur, fidèle, passioné, amical, gentil, propre sur moi, rêveur et têtu, désobéissant, peu sûr de lui-même, inconscient du danger, naïf, tête en l'air et l'on me distingue par mon nom feminin, mes yeux doux, mon regard qui ne juge jamais au premier coup d'oeil, mon ancien titre d'apprentit forgeron, mon titre d'écuyer. Enfaite on ne me distingue pas de beaucoup de gens si vous voulez mon avis. Je suis très bannal et je préfère cela ainsi qu'avoir la garde du roi à mes fesses. . Je me bas principalement avec deux épée simple courte, mais s'il y à necessité je peux me battre avec une seule. Je manie bien l'arc aussi.

Moi je crois en les anciens dieux et sinon j'ai brynden , un étalon aussi batard que moi que mon père m'a acheté lorsque je suis devenu ecuyer. Il se nomme Lethir.  

Il était un petit navire qui naviguait sur l'océan. Il était un peu navire qui jetta Mama à l'eau!

« Non… tu ne reviendra plus c'est ça? Qu'est-ce que je lui raconterai? Que sa mère à préféré suivre les ordres du tout puissant père qu'elle avait pour finalement se marié avec un noble car son père n'était que de basse naissance c'est ça? » Elle hocha la tête, en larme, qu'aurait-elle pu dire à son cher Stanislas. Elle ne voudrait que lui pour sa vie entière mais cela n'empêchait pas que ses obligations de noblesse était ailleurs que là où son coeur la dictait d'être. Dans le lit de la petite maisonnée de deux pièces se trouvaient l'enfant tout juste né. Elle aurait pu l'emmener avec elle, mais avec le mariage devant elle cela n'aurait pas été pur plaisir. Un soupire, une larme et elle abandonnait sans un mot l'homme qu'elle avait aimée ainsi que cette petite chose qui dormait encore dans son petit berceau. « Gwendel...papa sera là. » soupira le jeune forgeron en regardant son premier né. Que pouvait-il y faire? Elle n'était plus, elle ne reviendrait jamais et il ne pourrait rien faire d'autre qu'élevé son fils du mieux qu'il en était apte. [...]    « Mais alors le monsieur il est chevalier ou il l'est pas? » disais-je en sautillant partout. Mon père riait bien fort en me voyant aussi curieux. Il essayait de m'expliquer rapidement qu'un peu nimportequel homme pouvait debarquer dans notre boutique pour acheter une épée et qu'ils n'étaient pas tous chevalier mais du haut de mes dix ans j'étais un petit rêveur. Il le savait bien, je ne manquait pas d'énergie. Je regardais le "chevalier" qui cherchait une belle épée étincellante et je l'imaginait au champ de bataille avec l'épée de mon père repoussant les ennemis. Mon père ne pouvait que rire de la situation, me voyant sauter dans une forge tellement j'étais content de voir quelqu'un dans une armure étincellante.   « C'est un écuyer Gwendel, pas encore un chevalier mais tout près. » Mes yeux s'aggrandirent autant que deux grande lune ronde. Je regardais l'homme qui avait orner un sourire à ces lèvres en me voyant courir à travers la boutique et en l'approchant je dit   « Donc vous êtes le bébé d'un chevalier? » Deux grands rirent ce firent entendre dans la forge. Mon père et l'écuyer en avaient pour leurs argents si ce n'était que de mes remarques enfantine. C'est mon fils dit le forgeron avec une grande fierté en regardant l'écuyer. Son fils...il y a longtemps que je ne l'ai pas entendue dire cela avec autant d'honneur.

Je me nomme Gwendel Waters, apprentit forgeron, fils du pieutre Stanislas qui fit toujours de son mieux pour m'élever seul. J'habite dans la ville de Rosby, la voisine de Port-réal. Mon père reprit une femme bien après ma mère mais elle ne pu jamais lui donner d'enfant. Je n'étais pas un enfant très problematique ormis ma désobéissance qui me menait à m'enfuir de chez moi au lieu de travailler. Je rêvais d'aventure et de voir le monde mais voilà que j'étais pris dans une forge avec comme seul destin de reprendre le marché suite à la mort de mon père. Triste destin non? Je n'étais qu'un jeune garçon sans réel avenir quand elle se présenta à moi. Une jeune femme, de long cheveux brun, un regard magnifique mais peut-être n'était-ce qu'un mirage? J'avais passé une nuit entière percher à l'arbre le plus haut que je connaissais, si je m'attendais à ce que la lune reflète devant mes yeux une véritable beautée, alors je fut bouchebé par cette apparition. « Vous allez rester là-haut longtemp? J'aimerais vous voir...» dixit elle tendis que j'étais hypnotisé, sous son charme je n'arrivais plus à me contrôler. J'avais vue bien des femmes de ma vie mais celle-ci était simplement fantastique. Lentement je descendit de ma branche pour arriver à sa hauteur afin que rapidement deux hommes m'empoigne me forçant à aller contre l'arbre. J'avais une lame au cou et rapidement elle s'exclama « Tu ne croyais quand même pas qu'une femme tel que moi allais s'interesser à un minable non? Allen, trouve moi de l'or sur cette victime facile » je n'eu le temps de réaliser qu'elle riait à grand éclat. Un homme me frappa au niveau du thorax, me coupant le souffle avant de fouiller une once d'or sur moi. Malheur pour eux, je n'étais pas riche. Un air dégouté se dessina sur un des deux hommes tendis que j'étais à plat ventre essayant de trouver de l'air.

« Un chevalier? » dixit elle effrayé à la vue de ma fine lame. Les deux hommes commencèrent à baffouer qu'il faudrait donc me couper la gorge afin que je ne rapporte pas l'évènement au château mais elle hocha négativement la tête en s'approchant tranquillement. Il vaut de l'or, souffla t'elle. Je levais mon regard, desormais flou, essayant de capter leurs visages pour m'en servir mais déjà ils trainaient mon corps bien loin. Je sais qu'ils m'ont frappé encore et encore, mais j'étais déjà au sol de plus je ne savais pas me battre. Arrivé à la forge, la jeune femme me connaissait mieux que je ne le croyais. Elle troqua ma vie contre tout l'or de mon père. Si j'écris ces quelques mots vous vous douterez qu'il aie accepté. Le lendemain fut un des pires jours de ma vie. Ormis la douleur pesante et ces palpitations de coeur qui ne me lâchaient plus, je voyais mon père annéantis. Il n'avait plus trop de choix que de vendre boutique pour quitter port-réal, il ne pourrait jamais se remettre d'une aussi grande perte d'argent. Je me levais difficilement, cette douleur persistait, pour m'approcher de lui refusant qu'il ferme la forge pour moi. « NON! je...je trouverai un moyen! Je prendrai un emploie en ville bien payant, je te donnerai tout ce que je ferai! Ne ferme pas la forge pour moi! » mais il refusait. Il ne voulait pas que je devienne qui sait quoi peut-être un gars de bordel, aussi rare que ce soit, ou même un larbin de quelconque seigneur. Il ne pouvait pas imaginer son fils souffrir pour une simple forge. Pourtant j'étais déterminé. Humilié d'avoir été pris aussi facilement par des brigrands, déterminé à redonner l'espoir à mon père. Je pris mes vêtements les plus solide avant de me rendre en ville pour me présenter entant que combattant. Les combats illégaux de rues faisait rage dans la basse-ville et bien que souvent découvert peu cessait leurs activités. On ria de moi mais un homme voulu miser sur ma tête.

Ce ne fut pas long que le combat fut cesser, des chevaliers se pointèrent et beaucoup se dispersèrent mais j'étais le centre de l'attention avec mon adversaire. Rapidement une chaîne au pied nous fument emmener au donjon rouge. J'accumulais les mauvaises journées décidement. Mon père se présenta à nouveau, les chaînes furent enlever. Son regard, je ne l'oublierai jamais. Tant de deception. Il avait du promettre service à la cours royale afin de payer ma libération. J'avais condamné mon père jusqu'à son dernier souffle en étant aussi stupide. Voilà pourquoi j'en restait à être un apprentit forgeron pendant un long temps. Mon père fini par payer sa dette envers le royaume, sans pour autant avoir autorisation de cesser commerce. Nous mangions à peine et ma belle-mère était terriblement malade. J'avais encore seize ans, j'étais un homme et je me devais de changer l'avenir qui entourait ma famille! Je me décida un matin de quitter la forge à l'aube sans un bruit pour me rendre à Port-réal afin de trouver un travail honnête qui paierait bien mieux.

Je trouvais rapidement un emploie au Port, mais contre tout attente un homme pas tellement plus vieux que moi me rencontra dans une auberge après ma longue journée de travail. Qui aurait pu savoir qu'en moi après déception et malheur se cachait encore un jeune rêveur. Cet homme était nul autre que le chevalier Brynden Nerbosc et il remis un sourire sur mes lèvres depuis longtemps désseché. Après buverie et bonne discution je lui avoua nécéssité un meilleur emploie pour soigner ma belle-mère et redonner l'honneur perdu par ma faute de mon père. Contre tout attente il me proposa de devenir son écuyer et je dois avouer que ma réponse fut très rapide. Je ne savais pas tellement me battre mais j'étais habile de mon corps, apte à monter un arbre en moins de quelques secondes, très agile...il ne regretterait pas son choix! J'avais seize ans et j'étais écuyer. Trois année en sa compagnie me suffit pour savoir que j'avais trouver un bon ami en ces lieux hostile qu'était la ville de la couronne. Il m'apprit à me battre comme un vrai chevalier, me dicte encore les règles de la chevalierie. Bien que désobéissant, je ne décois pas tellement Brynden puisque mes désobéissances ne durent jamais très longtemps avec lui. Oh si vous vous demandez, je n'ai pas encore l'or nécéssaire pour acheter la forge de mon père aux terres de la couronne mais je garde tout l'argent pour cela. Ma belle-mère va beaucoup mieux depuis peu grace aux bons soins des medecins de la ville que je paie à même mon maigre salaire d'écuyer. Je n'approche plus les femmes depuis cet incident, mais cela ne me rend pas plus craintif si elles m'approche. J'ai dix-neuf ans, je suis un habile combattant au nom de la couronne et bien que mon appréciation envers le roi Joffrey soit extrêment minime je ne trahirai point la couronne. Je rêve d'aventure et de quitter Westeros mais seul le temps pourra me dire si j'arriverai à accomplir tel destin de ma jeune vie.

Je suis un jeune homme de dix-neuf ans assez grand pour mon âge. J'ai une forte pilosité au niveau de la machoîre me donnant une barbe d'homme mûre malgré mon âge. Apparement que cela attire les femmes mais je le rase aussi souvent que possible. Mes cheveux brun coupé court frise tel un mouton. J'ai une peau mi-bronzé car je passe le plus clair de mon temps à l'extérieur. Je suis souvent en armure légerte de cuir ou tissu car le métal est trop lourd pour moi. Cela m'empêche de bien bouger ou même de courir car je me sens oppréssé. Je ne porte aucune armure réprésentant quelconque maison, si ce n'est la maison Nerbosc lors d'évènement officiel où je dois bien parraitre.

Je suis un vrai charmeur et oui j'ai les mains baladeuses mais il me faut admettre que j'ai peur de m'attacher aux femmes suite à un évènement térrorisant de ma jeunesse. D'ailleurs suite au fait que je n'ai jamais connu ma mère mais la sait vivante j'ai horreur de trop m'attacher à quelqu'un. Si c'est amoureux, je flancherai. J'ai peur, je dois l'admettre, de donner naissance à un enfant et comme mon père finir seul avec celui-ci. J'aimerais d'ailleur la rencontré pour lui poser des questions mais les anciens dieux seuls savent ou elle peut-être. Mon père m'a dit son nom, c'est tout ce que j'aie d'elle. Je suis pourtant rêveur, je ne m'arrête pas à si peu. Je veux voir le monde, je veux voir l'Essos. Je ne finirai pas ma vie comme un simple écuyer cela est certains, les dieux m'ont mis en vie dans un but précis et j'ai hate d'apprendre ce qu'il est.